jeudi 21 mai 2009

Altiplano, film belge se passant au Pérou
Une reporter de guerre voit (et se voit forcée à photographier) son guide assassiné par balle. Son mari, médecin, est missionné au Pérou dans un dispensaire d’ophtalmologie. Dans un village, de plus en plus de gens tombent malades et deviennent aveugles, ils ne savent pas de quoi ils souffrent et les médecins ne parviennent pas à les soigner. Lors d’une cérémonie religieuse, des enfants sont fascinés par du mercure, auquel ils attribuent de suite des propriétés magiques. Une femme, Saturnine, souhaite se marier avec un homme dont elle est amoureuse. Les destins de ces trois personnes vont se mêler.

Ce film est une oeuvre d’art, un hymne à l'image et à ce qu'elle transporte, il est plastiquement très recherché, tout est construit minutieusement, la réalisatrice explique qu’ils ont été très inspirés par la culture locale dans la construction de l’image. Les plans sont splendides, les couleurs superbes. La culture péruvienne est très prégnante, au travers des masques notamment, dont la « chevelure » blonde représente ce qui les entourent, des volcans enneigés. L’eau est très présente, la religion et les photos se mêlent.

Un gros travail sur la lumière permet de faire de ce film un vrai film de cinéma, qui cherche aussi un distributeur, désespérément, le marché du film de Cannes semble en pleine crise, et la rentabilité maximale est souhaitée. L’équipe du film se bat et se battra pour sortir le film coute que coute, car il ya un public pour ce genre de film.
Sans image, il n’y a pas d’histoire

quelques photos

Dès aujourd'hui, vous pouvez publier vos commentaires sans être identifiés. J'espère qu'il n'y aura pas de débordements...


Sam Raimi, réalisateur du film Drag to Hell...




Brad Pitt et Angelina Jolie

Montée des marches, très court

L'émotion fait parfois dire des choses...

Drag me to Hell

Après « Spiderman 1, 2 et 3 », « Mort ou vifs » « Evil dead » »Intuition » ou encore « un plan simple » Sam Raimi revient à l’écran avec «Drag me to Hell » (Jusqu’en Enfer) film d’épouvante qui allie humour et horreur : Une jeune femme ; Alison Lohman (christine Brown), employée d’une banque spécialisée dans les prêts immobiliers, se vit obligée de refuser un prêt à une vieille femme nommée Madame Ganush interprétée remarquablement par Lorna Raver. Ce qu’elle ne sait pas c’est que sous la colère, la vieille dame infligea une malédiction à la ravissante Christine. Mais jusqu’où devra-t-elle aller pour se défaire de ce supplice ? Au menu de ce film : Autodérision, frisson & rire. C’est cette véritable réussite qui marque le retour de Sam Raimi au grand écran, sortie nationale prévu le 27 mai 2009.
Léo